EN BREF
Fin septembre 2021, quelques évêques français rédigent et diffusent une note de deux pages visant à dissuader la lecture des écrits de Maria Valtorta, en rappelant que son œuvre principale – L’Évangile tel qu’il m’a été révélé – fut condamnée par des responsables du Saint-Office (devenu la Congrégation pour la doctrine de la foi).
Cependant, cette note interroge par sa partialité et ses très nombreuses omissions. Il semblerait qu’elle fut rédigée dans la précipitation, afin de faire interdire une présentation de cette mystique qui devait avoir lieu au Congrès Mission de Lyon, quatre jours plus tard, et de freiner les initiatives missionnaires recourant à ses écrits.
Aussi, aucun spécialiste de cette mystique – tant religieux que laïcs – ne fut consulté, et les auteurs de cette note semblent s’être contentés de reproduire les principaux éléments de la page Wikipédia FR dédiée à Maria Valtorta. Or, les connaisseurs savent que cette page est censurée depuis quatorze ans par une poignée de contributeurs anonymes et ne saurait constituer une base, ni fiable, ni catholique, pour appréhender ce sujet.
Nous allons développer ces points et les enrichir de nombreuses données, pareillement absentes de la note de la Commission doctrinale et de la page Wikipédia FR, en vue de permettre un discernement plus éclairé.
Avant-propos
Ce n’est pas de gaieté de cœur que nous écrivons cette réponse, mais parce que nous devons la transparence aux âmes qui ont été trompées. Par respect et amour, nous tairons les noms des protagonistes.
Si vous ne connaissez pas Maria Valtorta, ou peu, nous vous invitons à lire cette synthèse. Vous y trouverez notamment toutes les sources des éléments avancés ci-dessous.
Chronologie contextuelle
- 29 septembre 2021 : La Commission doctrinale de la Conférence des évêques de France (CEF) publie une note non signée et intitulée Bref avertissement au sujet de la diffusion de L’Évangile tel qu’il m’a été révélé de Maria Valtorta.
- 30 septembre 2021 :
- En s’appuyant sur cette note, un évêque contacte les responsables du Congrès Mission de Lyon pour exiger l’annulation de l’atelier intitulé Maria Valtorta : un outil d’évangélisation spécialement donné pour notre temps, programmé depuis des mois pour le 3 octobre.
- La directrice du Congrès Mission de Lyon, désolée, informe l’intervenant par téléphone de l’annulation. L’atelier est retiré de leur site Internet, mais figure sur les programmes, déjà imprimés. Sur 1200 intervenants (dans dix villes), cet atelier est vraisemblablement le seul à être censuré.
- 1 octobre 2021 : La présente réponse est publiée (elle sera complétée par la suite).
- 3 octobre 2021 : L’atelier n’a pas lieu.
- 9 octobre 2021 :
- Pour la commémoration du soixantième anniversaire de la mort de Maria Valtorta, la Fondation héritière de Maria Valtorta rassemble, à la Cittadella Cielo (Frosine, Italie), plusieurs spécialistes qui présenteront leurs travaux. Parmi eux, Mgr Francesco Maria Tasciotti (juge d’instruction pour le vicariat de Rome) et Me Carlo Fusco (avocat du tribunal de la Rote romaine et postulateur pour la cause des saints) s’expriment sur l’exercice héroïque de la pratique des vertus chrétiennes par la mystique à 15h55. L’événement est retransmis en direct sur l’espace youtube de la Fondation.
- Le quotidien La Croix reprend, sans recul, la note de la Commission doctrinale.
- 10 octobre 2021 : L’hebdomadaire Famille Chrétienne reprend, sans recul, la note de la Commission doctrinale.
- 12 octobre 2021 : Soixantième anniversaire de la mort de Maria Valtorta.
- 18 octobre 2021 :
- La Fondation héritière de Maria Valtorta publie un communiqué en réponse à la note.
- Jésus répond à la note : lire / écouter (locution approuvée par le père Marc-Antoine Fontelle, oblat bénédictin, docteur en théologie, en droit canonique et endroit).
- 19 octobre 2021 : Florian Boucansaud (ancien joueur de Ligue 1 devenu missionnaire catholique) décide de lire le communiqué de la Fondation sur son espace youtube ; les commentaires des auditeurs sont édifiants.
- 20 octobre 2021 :
- François-Michel Debroise (spécialiste de Maria Valtorta et collaborateur de feu Mgr Laurentin) répond à la note de la Commission doctrinale.
- Jean-François Lavère (plus grand chercheur au monde sur les concordances présentes dans les écrits de Maria Valtorta) répond à la note de la Commission doctrinale.
- Janvier 2022 : L’ancien responsable du bureau des constatations médicales de Lourdes, le Dr Patrick Theillier, rédige un article sur Maria Valtorta dans la revue diocésaine de Bayonne, Notre Église, n°132, pp26-27, dans lequel il désapprouve la note de la Commission doctrinale.
- 5 avril 2022 : Le frère Paul-Adrien, youtubeur français influent auprès des jeunes, poste un short de 56 secondes affirmant que l’Église a tranché sur l’origine non surnaturelle des écrits de Maria Valtorta. Contacté par email, il montre ignorer le sujet et se baser exclusivement sur la note de la Commission doctrinale. Informé en réponse que rien n’est tranché puisqu’une enquête officielle est actuellement en cours, il refuse de retirer ou de corriger sa vidéo erronée, ou encore de mentionner la réponse de la Fondation.
(Pour une chronologie complète de la vie de Maria Valtorta et des événements qui s’y rattachent, cliquez-ici.)
Éléments de discernement
La catholicité de l’auteur
Les auteurs de la note semblent insinuer que Maria Valtorta était une « piétiste-individuelle », extérieure à « une pleine communion avec l’Église et ses pasteurs », sans fournir d’éléments factuels pour appuyer leur propos.
Cependant :
- Maria Valtorta fut déléguée de l’Action catholique italienne,
- Elle était tertiaire du tiers-ordre catholique des Servites de Marie,
- Elle était accompagnée spirituellement par des prêtres,
- Elle fréquentait assidûment les sacrements,
- Elle a exprimé, en toutes circonstances, sa profonde fidélité à l’Église catholique romaine (ainsi elle alla jusqu’à embaucher, à deux reprises, un avocat pour empêcher son prêtre accompagnateur de diffuser ses écrits sans l’autorisation de l’Église),
- Elle a donné sa vie pour la défense de l’Église, de la foi canonique et le secours des âmes,
- En reconnaissance de ses engagements et de ses vertus, sa dépouille fut transférée à la basilique Santissima Annunziata à Florence en 1973, où elle repose depuis,
- La messe commémorant le cinquantenaire de sa mort fut célébrée par Mgr Pier Giacomo De Nicolò, ancien nonce apostolique et archevêque de Martana (Italie),
- Etc.
Ces éléments biographiques sont bien connus et documentés.
(Donc, Maria Valtorta n’agissait pas en-dehors de l’Église catholique.)
Le pape Pie XII, après lecture, a demandé la publication des écrits de Maria Valtorta le 26 février 1948
Les auteurs de la note rappellent que L’Évangile tel qu’il m’a été révélé fut condamné et mis à l’Index par le Saint-Office, l’institution héritière de l’Inquisition et renommée Congrégation pour la doctrine de la foi en 1965.
Cependant, ils ne disent pas que le pape Pie XII en personne a lu et demandé la publication des écrits de Maria Valtorta lors d’une audience consacrée à ce sujet le 26 février 1948.
Ils ne disent rien non plus du contexte, des raisons, des arguments et des méthodes qui ont conduit quelques responsables du Saint Office à aller dans le sens opposé au pape.
Les voici pour rappel :
Les quelques responsables du Saint-Office qui s’opposèrent à la publication des écrits de Maria Valtorta étaient convaincus que ces visions étaient des fictions personnelles et romancées produites par l’auteur. En conséquence :
- Ils menacèrent trois évêques successifs qui étaient prêts à donner leur imprimatur : Mgr Michele Fontevecchia, Mgr Biagio Musto et le cardinal Giuseppe Siri.
- Ne pouvant relever aucune erreur dogmatique ou morale dans les écrits ou dans la vie de Maria Valtorta, ils se concentrèrent critiquer la forme littéraire de L’Évangile tel qu’il m’a été révélé, voire son trop haut degré d’érudition.
- Ils tentèrent de récupérer ces textes le 15 février 1949 pour les faire disparaître.
- Ils attendirent le décès de Pie XII, pour la mettre à l’Index des livres interdits (en 1959). Ils placèrent alors l’œuvre dans une liste de livres qu’ils souhaitaient proscrire par décret et présentèrent cette liste au tout nouveau pape – Jean XXIII – pour signature. Le pape signa, mais nul ne sait s’il connaissait l’œuvre.
- Ils placèrent à l’Index L’Évangile tel qu’il m’a été révélé en 1959 pour raison disciplinaire (canon 1385) et non pour erreur dogmatique (canon 1399)
- Etc.
Ces difficultés doivent être replacées dans un contexte largement hostile aux mystiques. Ainsi, ces mêmes responsables du Saint Office attaquèrent, à la même époque et avec des procédés analogues, sœur Faustine et le père Michel Sopoćko, sœur Yvonne-Aimée de Malestroit, Luigina Sinapi ou le Padre Pio. L’un des censeurs impliqués ici fut démis de ses fonctions par le pape Pie XII en raison de ses abus en la matière.
Depuis, l’Index a été supprimé en 1966 et l’imprimatur n’est plus obligatoire depuis 1975.
(Donc, les méthodes du Saint-Office outrepassent ici le jugement du pape et les règles en la matière.)
Le cardinal Ratzinger, après étude, est revenu sur ses premiers a priori négatifs
Les auteurs de la note rappellent que le cardinal Ratzinger abonda dans le sens de ses prédécesseurs.
Cependant, ils ne disent pas que celui-ci est revenu sur ses premiers a priori négatifs dans une lettre adressée, dans les années 1990, à Marcel Clément, le directeur du journal catholique L’Homme Nouveau. Dans cette lettre, le cardinal réautorise le journal à publier des articles favorables au sujet de Maria Valtorta et à vendre ses livres.
(Donc, le cardinal Ratzinger n’est plus opposé à L’Évangile tel qu’il m’a été révélé.)
La demande de Mgr Tettamanzi est restée sans suite
Les auteurs de la note rappellent que Mgr Tettamanzi adressa le 6 mai 1992 une lettre à Emilio Pisani, l’éditeur de Maria Valtorta, dans laquelle il lui demandait « pour le bien des lecteurs et dans l’esprit d’un authentique service de la foi de l’Église, de déclarer clairement dès les premières pages que les “visions” et les “dictées” reproduites ne peuvent pas être considérées d’origine surnaturelle, mais comme de simples formes littéraires que l’auteur a utilisé pour raconter, à sa façon, la vie de Jésus ».
Cependant, ils ne disent pas que M. Pisani répondit à Mgr Tettamanzi par écrit ne pas avoir l’autorité de déclarer de lui-même que les “visions” et les “dictées” pouvaient être d’origine surnaturelle ou non, mais être prêt à imprimer sur tous les volumes une telle déclaration si elle était établie de manière officielle par l’autorité ecclésiastique compétente. Il n’obtint jamais de réponse.
(Donc, M. Pisani n’a pas manqué à son devoir.)
Les écrits de Maria Valtorta ont été lu, apprécié et recommandé par d’éminents catholiques
Les auteurs de la note ne disent pas que :
- L’Évangile tel qu’il m’a été révélé fut lu, apprécié et recommandé par des Saints, des bienheureux, des cardinaux, des évêques, des théologiens, des biblistes, et ceci même après sa mise à l’Index. À titre d’exemple, Mgr Giovanni Montini (futur pape Saint Paul VI) offrit l’œuvre complète de Maria Valtorta au grand séminaire de Milan lorsqu’il était à la tête de ce diocèse.
- Mgr Roman Danylak, administrateur apostolique de l’éparchie de Toronto de l’Est du Canada, étudia minutieusement L’Évangile tel qu’il m’a été révélé, en anglais et en langue originale, et l’approuva le 24 juin 2001 (voir le document ici).
(Donc, cette œuvre n’est pas un unième récit gnostique ou new age sur Jésus.)
Les nombreuses recherches disciplinaires et scientifiques menées ultérieurement sur ces écrits invalident le jugement du Saint Office
Les auteurs de la note ne mentionnent pas les études disciplinaires et scientifiques (biologique, géologique, climatologique, astronomique, topographique, culturel, biblique, linguistique) menées ultérieurement sur L’Évangile tel qu’il m’a été révélé.
Cependant, ces études authentifièrent quelque 20.000 précisions factuelles contenues dans les 5300 pages imprimées de l’œuvre. Ces études confirmèrent notamment, après le décès de Maria Valtorta, des dizaines de lieux lors de fouilles archéologiques. Cette littérature spécialisée a été compilée dans des livres et est consultable en ligne. À titre d’exemple, voici trois de ces études mobilisant big data et logiciels de pointe :
- Literary Fiction or Ancient Astronomical and Meteorological Observations in the Work of Maria Valtorta?, 9 juin 2017 : lire en ligne.
- A Mathematical Analysis of Maria Valtorta’s Mystical Writings, 19 novembre 2018 : lire en ligne.
- Jesus Christ’s Speeches in Maria Valtorta’s Mystical Writings: Setting, Topics, Duration and Deep-Language Mathematical Analysis, 12 mars 2020 : lire en ligne.
- Consulter davantage d’études.
Ci-dessous, la carte (dé)zoomable des 422 lieux géographiques nommés et positionnés avec exactitude dans L’Évangile tel qu’il m’a été révélé (plusieurs d’entre eux ont été excavés par fouilles archéologiques après le décès de Maria Valtorta) :
(Donc, cette œuvre n’est pas une fiction personnelle et romancée de la vie de Jésus et la thèse des censeurs du Saint-Office ne tient plus.)
Les fruits de cette œuvre sont bons, abondants et durables
Les auteurs de la note s’alarment de l’engouement que suscitent les écrits de Maria Valtorta.
Cependant, les fruits de cette lecture sont considérables :
- Des milliers de personnes furent affermies dans leur foi ou se convertirent au catholicisme à la suite de cette lecture. Parmi elles, certaines répondirent à l’appel d’une vie consacrée, à l’image du père Benjamin Dewitte-Dubrana.
- Le 27 avril 2007, les évêques chinois chargés de préparer le synode sur La Parole de Dieu dans la vie et la mission de l’Église demandèrent à ce que les œuvres de Maria Valtorta continuent à être traduites « pour aider le peuple de Dieu à apprécier le message évangélique ». Ce document se trouve sur le site du Vatican (lire sa traduction en Français ici).
- Etc.
Pour rappel, l’Église utilise cinq co-critères pour discerner si l’origine d’un phénomène surnaturel est divine ou satanique : 1) le phénomène ne doit pas avoir été recherché/demandé ; 2) la personne recevant le phénomène doit avoir une vie saine ; 3) le phénomène ne doit pas servir ses intérêts personnels ; 4) le message transmis doit être exempt d’erreurs doctrinales et morales ; 5) le phénomène doit produire des fruits spirituels bons, abondants et constants, et une saine dévotion.
(Donc, cette œuvre n’a pas le diable pour inspirateur.)
Les autres omissions de la Commission doctrinale
Les auteurs de la note omettent encore de dire que :
- Nul ne sait si les cardinaux Mgr Joseph Ratzinger et Mgr Dionigi Tettamanzi avaient lu les transcriptions de Maria Valtorta et les recherches produites à leur sujet au moment où ils entérinèrent la condamnation formulée par leurs prédécesseurs, puisqu’ils ne l’étayèrent pas et ne la complétèrent pas.
- Les six autres livres de Maria Valtorta (également des « révélations privées ») ne furent jamais condamnés.
Wikipédia et son ombre
Au regard des éléments avancés et omis dans la note de la Commission doctrinale du 29 septembre 2021, il semblerait que ses auteurs se soient principalement contentés de reproduire le narratif et les données figurant sur la page Wikipédia FR dédiée à Maria Valtorta, sans laisser paraître davantage de connaissances sur le sujet. Or, il convient de rappeler que cette page est censurée à charge depuis 14 ans par un petit groupe d’auteurs anonymes, une pratique malheureusement courante sur cette encyclopédie alternative.
Une problématique franco-française
Alors que nous voyons en Italie, au Canada, en Inde ou en Chine, des évêques qui manifestent publiquement leur enthousiasme pour cette œuvre, l’hostilité de quelques ecclésiastiques semble aujourd’hui principalement circonscrite à la France. Comment expliquer ce décalage ? L’explication semble assez simple : seule la page Wikipédia francophone sur Maria Valtorta fait l’objet d’une censure féroce.
Observations croisées sur les méthodes des censeurs
Il me semble particulièrement intéressant d’observer que l’on retrouve chez les censeurs du Saint-Office, de Wikipédia et de la Conférence des évêques de France, les mêmes caractéristiques et procédés.
En effet, nous retrouvons à chaque fois :
- un très petit nombre de personnes (moins d’une dizaine),
- ayant d’emblée un a priori négatif au sujet des écrits de Maria Valtorta,
- bâclant leur étude du sujet,
- collaborant entre eux de manière soudée,
- partageant le même objectif : empêcher/dissuader la lecture de ces textes,
- tout en pensant défendre la vérité,
- occultant l’ensemble des éléments n’abondant pas dans leur sens,
- abusant de leur titre, mission et autorité,
- ayant une grande répercussion auprès de milliers d’individus leur faisant confiance (religieux, fidèles, journalistes, etc.).
Par effet domino, les censeurs du Saint-Office ont influencé ceux de Wikipédia, qui ont influencé ceux de la CEF, qui ont influencé les grands médias catholiques (La Croix, Famille Chrétienne) ou encore l’influent youtubeur frère Paul-Adrien.
Nous nous trouvons face à un véritable levier systémique au service de la censure.
Il est intéressant de noter que l’Ennemi utilise de pareils leviers dans les affaires de mœurs : on découvrira que le nonce apostolique chargé de nommer les évêques et le premier d’entre eux étaient eux-mêmes impliqués dans des scandales sexuels.
Ces chaînes de transmission viciées rappellent fortement celles de nos origines : Lucifer qui transmet sa désobéissance par séduction à Adam et Ève, qui transmettent le péché originel par hérédité au genre humain. C’est Jésus qui nous sauve et la vérité qui nous libère.
J’invite tous ceux qui méconnaissent la vie et l’œuvre de Maria Valtorta, ainsi que les recherches posthumes menées sur L’Évangile tel qu’il m’a été révélé, à lire la synthèse suivante :
https://edifiant.fr/maria-valtorta
.
Gardons-nous de tout jugement : que ceux qui ne se sont jamais trompés leur jettent la première pierre. Prions pour que le Seigneur éclaire les cœurs et que ses dons ne soient pas sabordés par ceux qui l’aiment.
Dans quelques jours, nous commémorerons le soixantième anniversaire de la mort de Maria Valtorta. Que ce soit pour nous l’occasion de rendre grâce au Seigneur pour le don qu’il a transmis, à travers elle, pour la régénération de son Église et le salut des âmes.
Le 1 octobre 2021, fête de Sainte Thérèse de l’Enfant-Jésus (et mis-à-jour ultérieurement)